Le Centre Suisse Islam et Société (CSIS) n’est pas le défenseur d’une vision obscurantiste de la religion, mais il est au contraire un laboratoire de l’innovation, et ce à des coûts très contenus, explique le président de sa commission consultative, Antonio Loprieno, en réponse aux critiques de Mireille Vallette.
Le Temps, 14 décembre 2017